pas beau

Pour unr fois le silence me dérange. L'exclusion d'une enfant dans des conditions particulièrement odieuses a pour une fois été dénoncé publiquement. Mis à part quelques réactions sur un forum anonyme qui se transforme en réglement de compte entre clubs, rien d'objectif dans ces échanges et surtout aucun élément pour faire avancer le sujet.

Jusqu'ou ira t-on ? Faut-il un accident ou une agression physique sur un enfant pour que la fédération réagisse ? Qu'il s'agissent d'entraineurs ou de dirigeant, personne n'a le droit de prendre une sanction comme celle ci à la légère, comme il semble que ce la est été le cas à Montpellier. La france n'est pas le pays le plus peuplé en patinoire. Il y a meme penurie dans certains coins.

La fédération ne devrait elle pas créer une commission, avant d'autoriser les clubs à s'attaquer aux enfants ? C'est certainement la première fois que quelqu'un a le courage de dénoncer un acte pareil, mais je sais que ce n'est pas la première fois que malheureusement cela se produit et ça fait partie des choses qui nuisent à l'image du patinage en France.

Je me souviens d'une chose similaire et encore pire, il y a quelques années ou un club s'était permis d'exclure une patineuse membre de l'équipe de France, en faisant attention que l'exclusion soit faite en dehors de la période de transfert, soit après décembre, pour la priver volontairement de championnat de france.

A ma connaissnace, il n'u avait eu aucune réaction de la féd"ration. Dans d'autres clubs c'est les entraineurs qui se font virer injustement par des bureaux peu scrupuleux et certainement trop ambitieux.

L'anarchie qui règne dans les clubs doit cesser de toute urgence impérativement et pour cela la surveillance par une autorité supérieure qui serait autorisé à mettre des avertissemnts aux clubs douteux sserait peut être une preimiere solution puisque les ligues ne peuvent rien faire.

Que peuton faire pour assainir ce sport ? Je suis las de voir trainer le patinage dans la boue dpuis toutes ces annees, le cas de Montpellier qui envoie un huissier pour priver une jeune patineuse de stage de ligue la veille du départ, sans avoir eu le courage de lui dire avant, a provoqué chez moi un profond dégout.

Ce sujet n'est en aucun cas une polemique sur des cas précis, mais je le souhaite un sujet de réflexion nécessaire et urgent, sur ce qui peut être mis en place pour lutter contre ces abus.

J'ai été moi aussi très choquée par cet événement qui malheureusement n'est pas forcément isolé (tous ne sont pas dénoncé sur internet), et il est effectivement temps que certains clubs changent leur fonctionnement.

Je doute que la fédération, est-il nécessaire de rappeler sa façon de "choisir" les patineurs (polémique sur la sélection de Frédéric , polémique sur les sélections de Nadège pour les champ. du monde junior et sénior et ce rien que cette année, mais on pourrait revenir en arrière où il y a eu des choses beaucoup plus incompréhensibles), je doute donc qu'elle soit en position de donner des leçons aux clubs. Les clubs doivent pouvoir se gérer.
De toute façon la fédé ne va pas statuer à chaque décision d'un club. Qui peut savoir, à la fédération, si un entraineur a fait ou non le travail qui lui était demandé pour son salaire et si son licenciement est justifié ou non, à part les gens concernés et éventuellement les prud'hommes s'il y a abus.

Je pense qu'un début de solution passe d'abord par une plus grande démocratisation au sein des clubs. Il ne faut pas que les décisions soient dans les mains d'une seule personne (entraineur, président) ou d'un petit groupe (bureau).
Tous les clubs devraient être dotés (comme les associations en général) d'un bureau et d'un conseil d'administration (réel, pas sur le papier) le plus élargi possible. Ceci permettrait d'avoir, pour shématiser, un "pouvoir et un contre-pouvoir".
Le type de décision dont nous parlons, une fois souhaitée par l'entraineur ET le président, devrait être voté d'abord par le bureau, puis par le conseil d'administration avant d'être effective.

Mais ce n'est que mon humble avis. J'attends avec impatience d'autres propositions sur ce sujet pouvant faire avancer les choses, en souhaitant, moi aussi, que ces propos restent en dehors de toutes polémiques et cas particulier et que ce sujet ne deviennent pas, une fois de plus, le ring de comptes personnels.

Les associations sont toutes très sensibles à l'aspect financier. Un systeme d'amende substentielle assorti d'un avertissement pour les auteurs d'exclusions abusives serait peut etre efficace. Au bout de x avertisseme,ts suspension ou retrait e l'agrement. Autre possibilité, faire jouer la concurrence en favorisant la création de plusiseurs clubs dans une meme patinoire. Il yaurait ainsi moins d'entraineurs au chomage et la concurrence étant nécessaire à la progresion, cela pourrait donner des résultats. mais, cela existe déjà et dans certaines villes l'expérience est plutot réussies, et dans d'autres moins.

Pour mettre en place un système d'avertissements, il faudrait des gens compétents qui se penchent réellement sur chaque cas et pas de "copinage". Mais bon pourquoi pas? à réfléchir.
Mais n'oubliez pas que les entraîneurs sont les salariés des clubs et que ce sont eux qui les paient, pas la fédé, il est normal tout de même qu'ils aient pouvoir de décision. Par contre effectivement, une instance qui contrôle qu'il n'y ait pas d'abus pourrait voir le jour.
Pour ce qui est de l'exclusion des patineurs, ça paraît difficile quand on n'est pas dans un club de savoir ce qui s'est passé... "radio-bord de patinoire" raconte souvent tout et son contraire... Et du coup cela laisse la place à tous les abus (dans un sens comme dans l'autre d'ailleurs).
C'est pour cela que je poussais vers plus de "démoncratie" au sein même des clubs, car pour moi c'est au sein des clubs que doit se trouver la solution, pas à l'extérieur, même si on admet un droit de regard d'une instance neutre.

Quand à plusieurs club dans une même patinoire, quand il y a parfois déjà du hockey, du ballet, du short-track etc... le partage des heures va être "chaud".
Dans certains cas, c'est le contraire qui s'est fait : regroupement des clubs et des moyens (les compétiteurs de certains de ces clubs n'avaient que 2 ou 3h de glace hebdomadaires pour s'entraîner à la place de la dizaine d'heures requises quand on est en 1ère div). De toute façon, le nombre d'heures de glace n'étant pas extensible, s'il y en a 25 hebdomadaires par exemple, qu'il y ait 1, 2 ou 3 clubs à se les partager, cela ne fera toujours que 25h et pas nécessairement un poste de plus.

En tous cas merci d'avoir lancé ce sujet, je trouve qu'un forum est intéressant quand on peut y échanger ses points de vue (qu'on soit d'accord ou non) pour avancer tous ensemble.

Pour en revenir à l'exclusion d'un patineur (puisque c'était le point de départ de la discussion), hormis dans un cas grave (agression, violence, absences non justifiées de plus de x mois.....) elle devrait être précédée de plusieurs niveaux d'avertissements, de réunions avec TOUS les intervenants (patineur, parents, entraîneurs, président, tous les membres du bureau) afin de tenter conciliations et engagements mutuels pour arranger les choses. En aucun cas elle ne doit être abrupte, unilatérale, non justifiée et de fait incomprise.